Fêtes des mères

S’il fallait

S’il fallait que je l’invente
S’il fallait que je l’enfante
La femme qui vit depuis tant
De temps dans mes rêves d’enfants

S’il fallait que je la crée
Avec un morceau de craie
Je dessinerais au tableau
D’abord la douceur de sa peau

Je dessinerais sur la table
D’abord cet amour véritable
Celui qui broie les chagrins
Du matin

Quand il suffit d’une épaule
Seulement quelques paroles
Pour n’avoir plus peur du noir
Certains soirs

paroles & musique : Michel Gullo

5 Commentaires

Passer au formulaire de commentaire

  1. Je vous retrouve Michel avec toujours autant d’émotions.

    A quand un passage en Bretagne ?
    A Rennes….

    Annick

    1. merci Annick…Ah La Bretagne, depuis le temps que je rêve de sentir ses embruns…Caradec me l’avait tant de fois inspirée…

  2. toujours aussi entousiaste , merci pour cette nouvelle chanson et ce texte si fort d’émotion
    il y a si longtemps que je n’ecoute plus les chanteurs que je regrette que vous ne soyez pas programmé dans nos media ……peut être que les « majors » ne se pleindraient plus de la baisse des ventes

    cordialement et encore merci

  3. très joli

  4. Toute d’émotion retenue cette chanson… Belle comme une maman !
    En plus, comme cabrel, tu peux faire rimer épaule et parole ;o)))

    Tit coucou dauphinois…

Répondre à régine Annuler la réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.